(en cours d'écriture, plein de choses à vous transmettre !)
- C'est Toujours
la Fête !
- Je Fais
Exister
- Et Pan ! ça
y'est, çuilà je l'ai !
- L'Objet
Nommé, L'Image Exprimée
- Le Thème
Quartier-isé
C'EST
TOUJOURS LA FETE !
La "fête", ça veut dire pour moi, que ça "pétille", qu'on se sent, chaque jour, tous les jours, en super forme, plein d'énergie, d'enthousiame, de vitalité, très très "high" !
Ca veut dire que les passages dépressifs, au fond du trou, noir c'est noir, et vraiment très noir, se font moins fréquents, et plus limités, en ce qui me concerne aux fins de journées, après douze ou quinze heures d'activité à plein régime, et disparaissent systématiquement après avoir dormi.
C'est vrai aussi, qu'une grosse grosse astuce qui aide beaucoup, énormément, c'est de finir par trouver un jour son régime alimentaire et de vie pour ça. C'est complètement couillon, mais c'est un fait incontounable, bel et bien, très très important.
Je considère aujourd'hui, que l'état dépressif correspond avant tout à une asphyxie du cerveau, à une sous-oxygènisation, une sous-énergisation, du fait d'un détournement de l'énergie vers une autre tâche prioritaire vitale (digestion, élimination de toxines, défense contre une infection, choc émotionnel, peur, gros échec, mauvaise conscience, sous alimentation, grande fatigue physique ou intellectuelle, etc ..).
Une bonne mémoire, une bonne réflexion, sont totalement liées à une sensation de bien être, de "pêche", de pleine sérénité, de bonheur, d'harmonie. Il faut donc faire ce qu'il faut, se débrouiller d'une façon ou d'une autre, se "démerder", pour être dans cet état là, où le boulot intellectuel est facile, sans effort, où ça pétille, ça sautille, ça fait des bulles, ça part dans tous les sens, on sent qu'on en a plein sous le capot, où c'est un vrai et un pur plaisir.
Je le répèterai mille fois. Le geste fondamental, très facile, à répéter cent mille fois, à l'infini, consiste à faire exister.
Relisez plein de fois le texte "Je Fais Exister".
Je fais exister quoi ? Une nouvelle Trivialité, un nouvel Objet Trivial Ultra-connu, un nouveau "Truc".
"Un Nouvel Objet
Trivial Ultra-Connu
Ultra-Visible
Ultra-Combinable,
Ultra-Photographiable
Ultra-Existentiable
Ultra-Rémanent,
Ultra-Permanent, Ultra-Persistant
Ultra-Résistant
Ultra-Stable,
Ultra-Stabilisant
Ultra-Attirant,
Ultra-Fixant"
(Texte de 2013 environ)
Le recours à un objet trivial ultra connu est d'ailleurs bien un des trucs mnémonique les plus anciens qui soient ("Mais Où Est Donc Ornicar", "Napoléon Mangea Six Poulets sans Claquer d'Argent", pour le tableau de Mendeleïev, etc ..), depuis que le langage doit exister.
Dans le texte sur la structuration "Je structure, j'analyse, j'archimédise, etc ..." la 2ou3-fois-2ou3-fois-2ou3-fois-isation, la fabrication progressive de l'index logique, de l'arbre logique structurant, à navigation instantanée, nanoseconde, à coût totalement nul, donnant la visibilité parfaite de l'ensemble des éléments du texte, parfaitement identique à celle de ma maison, de mon quartier, se fait en chaînant, en metttant bout à bout successivement, exclusivement des Objets Triviaux Ultra-Connus.
L'Objet Trivial Ultra-Connu est totalement à part, totalement magique. Il a ces propiétés absolument extraordinaires d'auto-mémorisation citées ci-dessus. Il est un million de fois plus facile à mémoriser qu'un élément complexe, qui est la cible, l'objectif. Il constitue une case logique ultra-visible, qui va piéger, tenir, l'élément complexe, et en permettre précisément l'assimilation, la résolution, la dissolution logique, l'absorbtion naturelle, spontanée, à coût quasiment nul. (Deuxième texte, ancien, du PFC2 - B, non encore reporté dans le PFC3, "Chaque Séance, etc .." )
Dans mon travail de structuration du texte à parcoeurvisueliser, je m'efforce d'identifier les petits objets (la section), puis les mini-objets (le paragraphe), puis les milli-objets (la phrase). Chacun est évidemment porteur d'un sens fort, constitue une unité logique, et donc toujours "titrable", "étiquetable", "identifiable".
Cette étiquette, cette identité, cet identifiant, est forcément, obligatoirement, doit être, un Objet Trivial Ultra-Connu, Ultra-Visible, etc .., qui va constituer son "enseigne", rendre cette entité ultra-visible, accessible visuellement, en accès direct (au sens informatique), exactement comme le fait l'enseigne du boulanger dans la rue.
A partir de là, cette entité devient accessible pour toujours à coût totalement nul, je la vois, elle me saute aux yeux, je ne peux pas ne pas la voir. Et donc je ne peux pas ne pas la travailler, ne pas y aller, ne pas m'y consacrer, ne pas y rester à coût totalement nul.
Son travail devient infiniment naturel et facile. Et ce travail va consister à nouveau essentiellement à .. identifier le niveau du dessous ! A identifier et étiqueter les deux ou trois composants, constituants, suivants, du niveau du dessous. Etc ..
Jusqu'à coincer, piéger, faire exister spontanément l'élément complexe en bout de chaîne, qui va lui même ainsi être obligé d'émerger, de venir dans la lumière, de devenir à son tour stable, clair, visible, éclairé, et donc à son tour photographiable, par simple contemplation.
C'est chimique ! C'est évident, c'est imparable, ça ne coûte rien, c'est magique ! Ca marche toujours !
ET PAN ! CA Y'EST, CUILA JE L'AI
Une fois l'objet (objet standard (le texte), petit objet, mini-objet, milli-objet) existencié, c'est gagné.
J'ai la paix ! Je ne suis pas du tout (!) pressé d'en travailler le contenu. Ce contenu sera dans tous les cas travaillé, et finalement parfaitisé. Je peux donc faire la pause, me reposer, je peux en rester là pour l'instant. L'objet et parfaitement et définitivement "ferré", acquis.
Je le vois, je le vois parfaitement, très très clairement, il fait pleinement partie du paysage, exactement comme le lavabo dans la salle de bain, la Bretagne sur la carte de France, la grande cascade dans les Buttes Chaumont.
Exactement comme tous les objets ordinaires de la réalité qui m'entoure. Il est instantané-isé, nano-seconde-isé, à-coût-nul-isé. Il ne peut plus s'échapper. C'est gagné !
Il ne faut pas (!) se presser de le travailler. Il faut (!) faire la pause, se reposer, au moins en ce qui le concerne. Le plus important, ce qui est fondamental, c'est son existence, sa mutation, sa définitisation, sa visibilité instantanée à vie.
A partir de là, il faut en fait lui ficher la paix, le laisser faire sa vie, le laisser démarrer lui même sa propre croissance, qui se fait inconsciemment. Il a acquis sa propre existence, et va croître de lui même comme une plante, en "collaboration" avec moi.
Il existe indépendamment de moi, comme une plante, dont je n'ai plus qu'à prendre soin, à alimenter "en eau, en gaz, en électricité", en lumière, simplement en y allant, en m'y installant, en m'y promenant, en m'y consacrant de temps en temps, tout en douceur, en y apportant la lumière, le soleil, de la conscience, de l'observation, de la contemplation.
Par le simple fait d'y être, de le regarder, de ne pas "l'abandonner" dans l'ombre, dans l'obscurité, de ne pas l'ignorer de façon trop prolongée, d'en prendre soin, d'en cueillir les fruits, d'en faire exister à leur tour les descendants, exactement comme je l'ai fait pour lui même.
J'ai fait exister un objet qui est, bel et bien,Vivant !
L'OBJET NOMME, L'IMAGE EXPRIMEE
Il est essentiel, lorsque je navigue au sein de l'objet (thème, objet standard, petit objet, etc ...), que je m'y promène, de toujours, spontanément nommer l'objet que je vois, chaque objet que je vois, et décrire, exprimer, l'image triviale que je vois, chaque image triviale que je vois.
Je dois entendre le nom spontané de l'objet et l'expression spontanée de l'image très clairement dans ma tête.
Pourquoi ? Parce qu'il existe un auto-enregistrement, spontané, inconscient, essentiel (!), de l'expression orale (même si je ne l'entends que dans ma tête, bouche fermée). Dans je ne sais quelle partie du cerveau. Cet auto-enregistrement inconscient est fondamental !
A nouveau, il n'y a pas de mémoire technique, cognitive, sans langage, sans mot, sans phrase. Il n'y a pas de super image sans super phrase. L'Image et la Phrase se tiennent, se soutiennent, se font exister mutuellement, forment un couple indispensable. Il n'y a pas de mémoire construite, dense, importante, vaste, riche, sans ce couplage objet-mot, image-phrase-courte.
Par ailleurs, il faut toujours respecter strictement l'ordre Objet puis Image, d'abord l'Objet ensuite l'Image, comme ça. Les deux ! Toujours les Deux ! Toujours dans cet ordre !
"J'Construis le
Thème où j'Suis
Qu'j'ai Là,
Devant Moi, Sous Mes Yeux
Qu'j'ai à
Tout Instant, Devant Moi Sous Mes Yeux, dans
sa Totalité
Parfaitement
Stable, Parfaitement Navigable
Totalement
Parfaitement Zoomable
Ce Contenu Là, Toujours
ce Même Contenu
Qui ne Bouge Pas,
Qui ne Bouge Absolument Pas
Qui ne Bougera Jamais
Parfaitement
Stable, Parfaitement Navigable
Totalement
Parfaitement Zoomable
Exactement Comme la
Maison, Comme le Quartier"
Texte de synthèse complémentaire, complètement redondant mais qui sonne bien. Apporte du liant et de la clarté par rapport aux deux textes "Je ne Raisonne plus Que .." et "J'Construis l'Objet Où j'Suis ..". Bon plus également par rapport au premier texte lui même "L'Objet Conceptuel" , ainsi que "Je Fixe les Nouveaux Arrivants .." et "Je Peins, je Construis .." (partie "dans lequel je n'ai plus qu'à me promener ..").
Je suis bien installé, très bien installé, dans mon thème, exactement comme dans ma maison, comme dans mon quartier.
J'y suis installé de façon parfaitement stable, à coût totalement nul. Je peux m'y déplacer, y naviguer, à coût totalement nul, aussi longtemps que je veux.
C'est une peinture conceptuelle 3D. Je l'ai Fabriquée, entièrement, élément après élément.
Rien ne la distingue de ma connaissance de ma maison, de mon quartier. Elle est infiniment stable.
J'y pense, je rêve, j'y réfléchis, de façon aussi prolongée que je veux. A coût totalement nul.
J'y constate de temps en temps la présence de nouveaux éléments, qui ont poussé comme des nouvelles fleurs dans mon jardin.
Je les cueille un à un, calmement, sans me presser.
Je l'intègre dans ce paysage. Je le fusionne à ce paysage.
Je le fixe. Je le fixe du regard. Je le regarde fixement. Calmement. Je le Contemple. Je le Photo-Soude.
Il vient s'ajouter pleinement, complètement, définitivement, ultra-solidement, à cet ensemble d'éléments, à ce grand ensemble d'éléments, parfaitement stable, parfaitement navigable.