Mars 2015

(en cours d'écriture, plein de choses à vous transmettre !)

C'EST LA FETE !!

Plus le temps passe, en particulier plus d'un an maintenant depuis mon dernier ajout important des vidéos, et plus la méthode m'apparaît comme incroyablement juste.

J'ai dû ajouter encore pas mal de textes, qui complètent les existants, qui ne font que renforcer la clarté, la solidité, l'intérêt, l'efficacité, l'opérationnalité des précédents.

Des idées nouvelles très fortes se sont aussi ajoutées.

 

LA REFLEXION

Par exemple la notion de réflexion. J'ai enfin compris le sens profond de ce mot, fondamental s'il en est, que je cherche depuis toujours. Pourquoi est il le même que celui de la réflexion de la lumière ?

La réponse est très importante est la suivante : parce que à partir d'un certain niveau minimum suffisant de connaissance, de clarté, de solidité, de compréhension, de matière constituée, d'un objet, cette connaissance, l'objet conceptuel qu'est sa connaissance, devient effectivement réfléchissant.

La vision que j'en ai, devient pleinement dynamique, je ne peux pas voir un de ses constituants, un de ses éléments, sans voir ses voisins immédiats, dont chacun rend lui même pleinement visible à son tour ses propres voisins immédiats.

La lumière que je projète en regardant l'un quelconque de ces éléments, se réfléchit effectivement instantanément sur ses éléments suivants, et sur les éléments suivants de ces éléments suivants.

Et ce de façon circulaire ! Avant tout circulaire. Ma vision tourne en rond, demeure, se cantonne, se limite spontanément à ce petit groupe. Ce faisceau lumineux est piégé par ce cercle, ce groupe, ce petit ensemble d'éléments que je vois tous en même temps.

Il y a donc pleinement concentration de ce faisceau lumineux. L'énergie mentale, la vision, le faisceau lumineux de vision, visualisation, se trouve spontanément piégé au sein de ce groupe, de ce cercle, de ce petit ensemble d'éléments liés, voisins. Il y a effectivement, pleinement réflexion.

Et c'est très préciséments la condition du développement de la connaissance de cet objet.

L'objet piège la lumière, cette énergie lumineuse, par cette réflexion physique, chimique, et devient de ce fait lui même pleinement lumineux, éclairé, chargé de lumière piègée, d'énergie concentrée, et ce de façon totalement spontanée, à coût totalement nul pour moi même.

Je vois tout simplement, j'ai devant mes yeux un ensemble parfaitement clair et cohérent, parfaitement stable, sur lequel, dans lequel, je peux rester autant que je veux à coût totalement nul.

L'énergie piégée se transforme en matière

En conséquence de quoi .. cette énérgie piégée ne peut pas ! rester inopérante, elle illumine nécessairement de nouveaux éléments, elle intègre forcément de nouveaux éléments, elle lie forcément de nouveaux éléments. Il y littéralement, exactement !, transformation de cette énergie en matière ! E=mc2 !

L'énergie se transforme en matière ! La matière, c'est de l'énergie piégée, c'est de l'énergie de liaison, transformée en liaison.

Toute dépense intelligente d'énergie se traduit en liaison en assemblage d'éléments, que ce soit pour assembler les pièces d'une maison, d'une voiture, d'une molécule de glucose par photosynthèse, dont procède tout le vivant, pour la constitution d'une planète, d'une étoile, d'un noyau de carbone à l'origine de l'univers.

Tout élément est un élément de réflexion

Tout élément est donc réfléchissant, est un élément de réflexion, de propagation, de diffraction de la lumière, le jeu de mots correspond bien à la réalité, les deux sens sont parfaitement exacts et justes.

Un élément de réflexion est effectivement un élément de réflexion, un élément réfléchissant, un miroir logique, qui renvoie la lumière et qui contribue pleinement à piéger la lumière, à éclairer l'ensemble des autres éléments, à développer la luminosité de l'ensemble des éléments constitutifs de l'objet.

Et donc .. plus il y a d'éléments présents, cohérents, liés, et plus le degré de réflexion augmente, et plus la luminosité, la clarté de l'objet augmente, jusqu'à devenir ultra-clair, ultra évident, ultra lumineux.

Remplir un objet, en augmenter le nombre d'éléments, est une nécessité pour l'amener à la parfaite clarté, la parfaite évidence. La valeur c'est le nombre !

Travailler un objet, c'est en augmenter le nombre d'éléments, consciemment, avec la conscience de cette contribution de chacun d'eux en tant que miroir, de mini, de micro miroir.

C'est un travail facile, très facile, et en même temps indispensable, qu'il faut et qu'il suffit de faire.

Et plus le nombre d'éléments présents, existants est important, et plus c'est facile, plus l'éclairage la visibilité, la portée de cet éclairage croissant fait apparaître clairement, rend visible, de nouveaux éléments, qu'il suffit alors de fixer, d'intégrer, de photographier par contemplation, par simple contemplation, simplement en les regardant fixement.

On est donc dans une dynamique vertueuse, ultra légère et fondamentalement exponentielle.

Il n'y a en pratique quasiment rien à faire. L'important, le plus important, est d'avoir compris, d'avoir pleinement conscience de ce phénomène, de lui permettre simplement de se réaliser, en "tenant le volant", en se maintenant, du "bout des doigts", au sein de l'objet, dans l'objet, en restant tout en douceur, en ultra douceur concentré sur l'objet, sur le centre de l'objet, en tenant simplement la "poignée" de l'objet, sur son centre logique.

TEXTES

Rappel : les textes, phrases généralement longues, paragraphes, aphorismes, qui constituent le PFC, sont de nature totalement poétique et mathématique, à l'instar des théorèmes. Ils ont été élaborés minutieusement, de façon millimétrique, et sont faits pour être appris progressivement par coeur, pour être parcoeurvisuelisés, comme des textes de lois ou des théorèmes. Ceux qui suivent sont en attente d'intégration au sein du PFC proprement dit (mise en page à réaliser).

Confirmation ! : ces textes sont ultra-puissants, comme des théorèmes, comme les règles de la lecture, des formules mathématiques, ou des textes de loi. Ils doivent être appris lentement, patiemment, sans effort, savoureusement, en prenant tout son temps, comme pour toute poésie. Ils mettent, de fait, pour certains, des années à acquérir et procurer toute leur puissance, à passer à l'état de super image, d'image parfaite, d'image réflexe, de réflexe parfait, comme au judo, au tennis, au ski, ou tout autre langage ou discipline sérieuse. Ils sont parfaitement logiques. Ils sont fabuleux !

A nouveau, ce sont bel et bien des outils ! De véritables Outils, au sens profond du terme (âge de pierre, âge du fer, âge de la lecture, âge de la mécanique, âge de l'électricité, âge de l'informatique, etc ..), comme tous les Outils qui ont profondément et totalement révolutionné la vie, ultra-puissants, totalement indispensables, qui décuplent, qui centuplent, la productivité, l'efficacité, la puissance, de chacun, de tout individu.

Ultra-solides, nécessairement obligatoirement ultra-solides, ils prolongent naturellement et spontanément, de façon ultra-puissante le geste mental, comme le font le marteau, le tournevis, la voiture, le fusil, la lecture, le calcul mental, la langue étrangère maîtrisée parfaitement. Ils sont, deviennent et doivent devenir, d'un usage constant et transparent, naturel, réflexe, inconscient. Ils sont complétement intégrés aux réflexes de la pensée, assimilés, ils sont "bioniques".

Cette assimilation parfaite progressive, qui doit rester constamment facile, sans effort, est le propre de, ce qui définit, toute discipline. Une méthode, une discipline, est un ensemble de réflexes parfaitement définis, explicités, écrits, décrits très clairement, minutieusement, officiels, totalement justifiés (judo, ski, tennis, piano, langue, maths, langage informatique, taper à la machine, langage des signes, etc ..).

La valeur c'est le nombre

"La valeur c'est le nombre, ça n'est que le nombre, le grand nombre d'éléments cohérents et complémentaires, assemblés, filés, tressés, mis bout à bout, (réalisant tous ensemble une fonction, une transformation, la production d'un résultat)."

Texte ancien, d'avant 2000.

Le remplissage

"10% pour la compréhension, 90 pour la perfection, c'est à dire la complétion, la complétisation, le remplissage, le développement, le prolongement, l'enrichissement, l'ajout de nouveaux éléments"

Texte très récent. Suite logique de "la valeur c'est le nombre". Définitivise la nécessité de remplir l'objet, le thème, d'augmenter le nombre de ses éléments, pour aboutir à un parfait lissage, une parfaite continuité, et à une énorme clarté produite par l'addition de la réflexion de chacun de ces très nombreux éléments. On a ce phénomène partout et de façon universelle dans la nature (attraction, magnétisme, lumière, etc ..). Un grand nombre ou très grand nombre d'éléments additionnent leur minuscule effet individuel pour donner un phénomène, un résultat macroscopique énorme. A relier bien sûr aux Textes Fondamentaux "Je Peins, je Construis, etc .." et, au le premier d'entre eux, "L'Objet Conceptuel" (partie centrale, "Que Grâce à ça").

"Je Construis, je Développe, je Complète, j'Enrichis, j'Ajoute Successivement, de Nouveaux Eléments"

Bon complément de synthèse, qui "résonne" particulièrement bien, "soniquement" et sémantiquement, au bout d'une cinquantaine de fois.

La structuration

"10% pour la compréhension, 90 pour la perfection, c'est à dire la construction, la structuration, l'existenciation, la visibilisation, l'indestructibilisation, la cristallisation, la a-tout-jamais-totalement-parfaitement-disponible-isation, la a-tout-jamais-totalement-parfaitement-visible-isation"

Complète bien le texte du remplissage. Le remplissage se fait avec des éléments triviaux. La construction comprend une très grosse partie de pur remplissage. La structuration est une démarche totalement volontaire, et complétaire, qui structure, indexe la connaissance, de façon strictement arborescente au moyen d'éléments triviaux ultra connus et ultra combinables. Connecte aux et rapproche les deux textes fondamentaux "Je structure, j'analyse, j'archimédise, etc ...", "J'Identifie, je Référence, je Range, etc ...".

De l'image à la phrase

"Pour que ça existe, il faut l'écrire, c'est à dire le décrire très très précisément et le ranger soigneusement, et, à partir de là, le parcoeurvisueliser, le connaître progressivement parfaitement comme par coeur"

Texte ancien, d'avant 2000.

"De l'image à la phrase, puis à la super-phrase, et enfin, à partir de là et grâce à ça, à la super-image, à l'image réflexe, à l'image parfaite, à l'image indestructible, totalement disponible, ultra-stable, ultra-navigable, totalement parfaitement zoomable."

Nouveau texte très important : Les étapes image - phrase - super-phrase et enfin super-image, doivent être respectées, pour que ce soit facile, très peu coûteux, naturel et certain quant au résultat. La super-phrase est le passage obligé pour atteindre la super-image. La phrase est la phrase écrite traduisant spontanément l'image, dans sa forme la plus simple et brute. La super-phrase correspond à un affinage poussé de la description de l'image et y ajoute en outre une certaine esthétique et symétrie sonore, de nature purement poétique, le choix et l'ordre des mots est important, une certaine transcendance visuelle et sonore se dégage et s'impose, c'est "beau". La super-image complexe, très précise, très exacte, très juste, qui constitue une vraie et forte plus value, peut se bâtir sur la base et grâce à la super-phrase. Cette super-image totalement réflexe, absolument parfaite, et parfaitement exploitable, opérationnelle, est le but.

"Il n'y a pas de phrase sans image. Il n'y a pas de super-image sans super-phrase"

Je fixe les nouveaux arrivants

"Je contruis l'Objet où je suis, je fixe les nouveaux arrivants, (qui apparaissent spontanément successivement,) je place et je fixe très soigneusement, très précisément, très solidement, chaque nouvel arrivant, chacun de ces nouveaux arrivants, qui sont là en mémoire immédiate, qui ne bougent pas, qui n'attendent que ça, qu'il ne tient qu'à moi de ranger, de placer, de fixer, une fois pour toutes définitivement, qui sont là en mémoire immédiate, qui ne bougent pas, qui n'attendent que ça, et que je peux donc fixer, visser, souder, emboîter, photosouder, en toute tranquilité, un à un, calmement, sans me presser, en prenant tout mon temps, par contemplation, par simple contemplation, simplement en le regardant, en le contemplant, en l'observant, en l'examinant de façon prolongée, de façon suffisamment prolongée."

Nouveau texte. Texte de synthèse important, reliant, consolidant et complétant plusieurs textes fondamentaux, en particulier : "Les Nouveaux Arrivants", "J'Mémoire Immédiate" et "J'Construis l'Objet où Je Suis", "Le Cerveau c'est un Appareil Photo".

J'identifie, j'remplis, j'pétris

"J'Identifie, J'Remplis, j'Pétris, je laisse Reposer, j'Récolte
J'Identifie, j'Accumule, je Trie, j'Isole, Je Passe en 3D, je Fais Muter, je Soude
Je Fais Exister, j'Remplis, j'Durcis
Je Fais Exister, je Relie, je Remplis, j'Délimite, j'Epure, j'Structure, j'Durcis"

Nouveau texte, mais dont les deux première phrases sont anciennes, plus de dix ans. Gros gain de stabilité, de visibilité et d'opérationnalité de chaque phrase, issu de ce regroupement, de cette fusion. Texte particulièrement important (comme tous les textes ..), différenciant bien la fonction de d'existenciation, très volontaire, de celle de remplissage, au contraire, très souple, spontanée, rendu possible précisément par l'effort d'existenciation de l'objet, du sac, du bac, etc .. Je crée un sac, une case, un bac, que je n'ai plus ensuite qu'à remplir de façon pleinement décontractée, avec une extrême facilité. Le gain, l'effet de bras de levier, est gigantesque. Et quand il y a assez d'éléments dans ce sac, ce bac, je commence à faire le tri, à regrouper, à constituer de nouvelles entités, sous entités, à les faire exister à leur tour. Et on recommence ..

Je fais exister un nouveau sac, un nouveau bac

"Je fais exister un nouveau Sac, un nouveau Bac, une nouvelle Case, une nouvelle Boîte, un nouveau Tiroir, une nouvelle Armoire, un nouveau Contenant, un nouveau Récipient, une nouvelle Zone Mémoire, un nouvel Espace Mémoire, une nouvelle Allocation, un nouvel Espace de Mémorisation, qui Retient, qui Conserve Spontanément, Tout c'que j'mets d'dans."

Nouveau texte, élaboré sur les deux dernières années. Complémentaire du précédent. La création d'espace mémoire est un acte volontaire, est la conséquence de l'existenciation de l'objet en tant que tout, en tant qu'entité fonctionnelle globale, triviale, grossière, vue de loin. Ce texte insiste énormément sur le caractère de contenant, de récipient, qui va recevoir et conserver spontanément, à coût nul, tout ce que je mêts de dedans, comme je mets en vrac des objets dans un sac plastique, qui les conserve spontanément. C'est magique. (Le mot "Allocation" est le terme informatique pour la réservation d'un espace mémoire.)

Le Thème Quartier-isé

"Le Thème Quartier-isé, le Thème Totalement Quartier-isé, Rendu Exactement comme la Maison, comme le Quartier, dont Tous les Eléments sont Accessibles Visuellement, Instantanément, à Tout Jamais, dont Tous les Eléments Existent Exactement comme les Objets de ma Maison, de mon Quartier, comme les Milliers, les dizaines de milliers d'Eléments, de ma Maison, de mon Quartier, dont Chaque Elément a été très Soigneusement, très Précisément, très Solidement, Placé et Fixé, Vissé, Soudé, Emboîté, PhotoSoudé."

Nouveau texte de synthèse, très puissant. Le Thème Quartier-isé est l'unité apportant le plus de stabilité, de puissance, de luminosité. Le Thème Totalement Quarier-isé, rendu effectivement exactement comme la Maison, comme le Quartier, est proprement fulgurant. Il est infiniment stable et lumineux, (Merveilleux, Magnifique, Splendide, Sublime, Eblouissants (petit texte ancien)). Il constitue un ensemble très dense et réfléchissant, qui absorbe, assimile, intègre ultra-facilement de nouveaux éléments, qui en engendre spontanément de nouveaux, qui se développe spontanément. Le Thème a un rôle absolument fondamental. Rappelons qu'il a une fonction opérationnelle, professionnelle, et donc rémunératrice, très forte. C'est un mini-langage. Il permet de travailler, de concevoir, de fabriquer très facilement des solutions. Sa cohérence est totale. Construire, c'est avant tout Construire un Thème, le Thème où je suis. Et il faut toujours repartir du Haut du Thème, voir constamment le Thème dans sa globalité, en vue de Haut, en vue Globale ("Il Faut Toujours Repartir de Tout En Haut").

Le Thème Quartier-isé, le Thème Parfaitisé

"Le Thème Quartier-isé, le Thème Parfaitisé, Ultra-clair-isé, Ultra-Précisisé, Ultra-Solidisé, Facteur-Mille-Voire-Un-Million-isé, en Clarté, en Précision, en Solidité"

Nouveau texte (dont les composants sont anciens) pouvant précéder avantageusement le Texte précédent. Un Thème Quartier-sé, que j'ai réussi à Quartier-iser, est parfait, est Parfaitisé. Il est effectivement ultra-clair, ultra-lumineux, de par son très haut niveau de réflexion, de capture de la lumière. Il offre effectivement cette vision absoluement parfaite que j'ai de ma maison, de mon quartier. Ce texte peut aussi être utilisé, comme partout ailleurs, dans le sens de "en cours de Quartier-isation, de Parfaitisation", "que je suis en train de Quartier-iser, de Parfaitiser".

Je Fais Exister Extèrieurement, je Fais Exister Intérieurement

"Je Fais Exister Extèrieurement, je fais Exister Intérieurement
Je Fais Exister de Près , je Fais Exister de Loin, je Fais exister de Dedans
Je Fais Exister à Minima, Géométriquement, Visuellement, Trivialement, au Sein de, Dans, à Côté de
Je Fais Exister En Soi, de Façon Absolue
Je Fais Exister, je Constitue, je Construis, je Remplis, je Finis."

Nouveau texte (début 2014). Insiste fortement sur les formes très distinctes d'Existenciation, dont il faut avoir une conscience très claire. Ces trois formes (de Près, de Loin, et Dedans), correspondent à trois actions volontaires séparées, à mener consciemment explicitement indépendamment.

Il n'y a pas d'Objet Isolé

"Il n'y a pas d'Objet Isolé
Tout Objet, Toute Entité, ne Peut Exister qu'en Tant que Constituant d'un Ensemble d'Eléments, d'un Objet Parent
Tout Elément, Tout Objet, Toute Entité Est Forcément un des Deux ou Trois Constituants d'un Objet Parent, qui est Lui Même, un des Deux ou Trois Constituants de son Propre Objet Parent
Qui est lui même à son tour, forcément, un des deux ou trois constituants de son propre objet parent, etc .."

Nouveau texte (fin 2014). Insiste fortement et puissamment sur la structuration totale absolument nécessaire et réelle, la 2-ou-3-fois-2-ou-3-isation nécessaire et réelle. Sans se précipiter évidemment. C'est une direction, une tendance, ça se fait petit à petit, naturellement, logiquement. C'est une condition de l'Existence Absolue, nanoseconde, de l'objet. A relier bien sûr en particulier à "Je structure, j'analyse, j'archimédise, etc ...", et de "Que je Vois"

Tout Elément est une Réalité

"Tout Elément est une Réalité, est une Matérialité, est un Objet, à un Type
Est un Ensemble d'Eléments Totalement Déterminés Strictement Ordonnés
Est une Composition, une Composition, un Assemblage, de Figures Elémentaires Matérialisées.

Nouveau texte (mi 2014). Très important. La Trivialité est d'origine fondamentale. Il n'y a pas d'élément sans matière. Tout élément est une trivialité est une géométrité élémentaire matérialisée, ligne, rectangle, triangle, cercle, tube, cube, cone, sphère. Il n'y a pas d'existence sans matière, sans figure géométrique élémentaire matérialisée, et donc sans trivialité. La matière, c'est l'atome, sans atome il n'y a pas de matière. Et une entité est un assemblage de million de milliards de milliards d'atomes (nombre d'Avogadro, 10 puissance 23) chainés de façon totalement régulière sous la forme d'une forme géométrique élémentaire. Il n'y a pas d'entité sans forme géométrique élémentaire. Le passage de l'atome, qui est donc obligatoire, à l'entité existante, passe par la matière, par la forme géométrique élémentaire, qui chaîne de façon totalement répétitive extrêmement précise, totalement déterminée, imposée, ces milliards de milliards d'atomes. Il n'y a donc Pas d'Entité, sans Forme Géométrique Elémentaire, que je peux voir, que je peux me représenter mentalement parfaitement, de façon donc parfaitement justifiée, légitime. C'est bien sûr ce qu'on applique à 100% dans la réalité virtuelle, la programmation des jeux vidéos. Il n'y a pas d'Ensemble en Soi, il n'y a qu'un Ensemble d'Objets. Il n'y a pas d'Objet Abstrait en Soi, il n'y a qu'une représentation épurée d'une réalité, d'une matérialité. A partir de là, tout Objet correspond forcément, à de l'assemblage, du collage, du chaînage, de figures géométriques élémentaires. La 2ou3fois2ou3-ité est la réalité, est effective, et universelle. 2ou3fois2ou3-iser est à 100% légitime. Tout Objet est effectivement un assemblage, un collage, un chaînage. Tout Objet est donc lui même un bloc de matière, peut et doit être vu, comme une forme géométrique élémentaire, un bloc, un cercle, lui même combinable, lui même collable, chaînable à un autre cercle, à un autre bloc de matière, à une autre forme géométrique élémentaire.

Tout existant est spontanément croissant

"Tout Existant est Spontanément Croissant, Engendre Spontanément de Nouveaux Eléments, qu'il suffit Cueillir, Recueillir, de Récolter, de Fixer, de Visser, de Souder, de Faire à leur Tour, Exister, pour que ça Continue, pour que ça Recommence, Indéfiniment, jusqu'à la Finition, jusqu'à la Complétion, jusqu'à la Perfection de l'Objet."

Nouveau texte (fin 2013). Complète très bien "Tout Elément une fois Existant".

DIVERS

Remarque concernant l'officialisation de l' "-isation"

Il me semblerait justifié et utile, si ce n'est pas déjà fait, d'officialiser enfin, grammaticalement, une fois pour toutes, le droit de créer un nouveau mot par ajout des suffixes "-iser" (rendre ..) et "-isation" (le fait de rendre .., action de rendre .., ("ation" abrégeant le mot "action")).

J'en fait personnellement un usage important depuis vingt ans, quasiment à tout bout de champ, et ne pourrais absolument pas m'en passer, comme par exemple dans "Je Structure, j'Analyse, j'Archimédise, .." ou encore "10% pour la compréhension 90 pour le Perfection".

Cette création légère et sans complication de ce type de néologisme est quasi monnaie courante en anglais-américain (suffixes en "-ing", en "-ize", en "-ization") et en allemand (préfixe "ver-").

Cette officialisation déshiniberait cette pratique très pratique.