La
6-ème République
Laurent Chrétien
Marquet - Ingénieur et Chercheur
Ingénieur
Civil des Télécommunications - Docteur 3ème C. en Physique
Théorique
- La Débâcle
- Je Prétends
- Une Tribune
voulue précisément pour ça
- Un très gros
Potentiel
- La Sécurité
- La Fiscalité
- L'Immigration
Illégale
- Les
Allocations familiales
- La
Proportionnelle
- Le Cumul des
mandats
- Déclaration
de patrimoine
- Taxe
professionnelle
- Les Charge
sociales
- Le Déficit
Commercial
- La Dette
Publique
- L'Election des
Juges
- La Liberté
d'Expression
- Le Maintien
des Départements et des Régions
- La Sixième
République
- Suite à ma
Candidature de 1988
Le chômage en France est la conséquence directe de la baisse de son niveau intellectuel moyen par rapport aux autres pays plus clairvoyants, qui foncent eux, toutes voiles dehors.
Toutes les statistiques le prouvent. La France recule régulièrement dans le classement mondial.
Elle glisse, s'enfonce, s'enlise, se noie, un peu plus chaque jour, lentement mais très sûrement, vers le sous développement.
Comme en attestent très très concrètement, mois après mois, les chiffres du chômage, et année après année, les chiffres du déficit commercial, ceux de la dette publique abyssale et de l'émigration incessante de ses forces vives.
L'enseignement en France connaît une crise sans précédent. Un vrai massacre.
Seuls désormais les très doués ou les plus aisés financièrement, ou encore les mieux encadrés familialement, ont la possibilité de se maintenir à un bon niveau.
La grande majorité, celle des gens sans grand don ou sans moyens suffisants ou parents dotés d'un solide parcours supérieur, c'est à dire la classe moyenne, est condamnée par l'effroyable désordre qui règne au quotidien dans quasiment toutes les salles de classe.
Où s'épuisent des professeurs de plus en plus démoralisés et démotivés, et dont le niveau moyen lui même diminue inéluctablement, du fait du faible intérêt et des grandes difficultés que présente désormais cette profession sinistrée, jadis prestigieuse et valorisante.
Nous répétons strictement, exactement, là, maintenant, en ce moment, nous même, en temps réel, la même folie, la même folie d'inconscience, d'inconsistance, d'irresponsabilité, d'aveuglement total, de renoncement, de lâcheté, à grande échelle, généralisée, du haut en bas de l'appareil d'état, la même folie, le même aveuglement, la même paralysie, la même résignation, qui ont mené à la grande, à l'immense débâcle de juin 1940.
Je prétends, en suivant les exemples de Clemenceau et de Gaulle, être en mesure de renverser complètement cette tendance, en me basant en premier lieu sur cette méthode, élaborée et finalisée au cours de ces quarante dernières années, véritable révolution géniale de l'acquisition et de la transmission du savoir.
Ainsi que, sur ma vision très claire de cette catastrophe et ma volonté très profondément enracinée de redresser la barre tant que celà reste encore possible.
Aucun gouvernement n'a eu, dans quelle que mesure que ce soit, jusqu'à présent, au cours de ces quarante dernières années, ni la clairvoyance, ni la volonté, ni le courage de traiter ce problème de dégradation constante, dont nous payons à présent extrêmement cher les conséquences.
UNE TRIBUNE VOULUE PRECISEMENT POUR CA
L'élection présidentielle française, au coeur et au centre de la cinquième république, à scrutin direct, à deux tours, ouverte à tout citoyen, a très précisément en particulier pour but de servir de tribune à la fois considérable et unique pour ceux qui ont des solutions solides et crédibles aux problèmes les plus graves, les plus vitaux, que connaît la nation,
Solutions qu'il peuvent de cette façon exposer et expliquer directement au peuple souverain.
Et il y a de fait une solution, il y a bien une formule, un remède, une molécule, précis !, pour soigner cette maladie mortelle, qui ronge et fait mourir ce pays.
Cette formule, cette molécule, magique et unique, je l'ai, je la connais, et je veux vous la transmettre, pour que vous décidiez de l'administrer, de l'appliquer, avant qu'il ne soit vraiment trop tard, avant que ce pays ne sombre complètement, ne coule à pic.
UN TRES GROS POTENTIEL (essentiel)
Ce pays dispose d'un potentiel considérable, énorme, pour des dizaines de raisons avant tout historiques.
Encore faut il en avoir la vision claire, ce qui a complètement fait défaut aux gouvernements successifs, submergés par leurs obsessions électorales.
Il ne suffit pas de grand chose en réalité pour que ce potentiel se traduise par une croissance forte, le plein emploi et l'enrichissement de tous, comme en Suisse, au Danemark, au Japon, et aussi en Allemagne, notamment.
Là où il n'y a pas de sécurité, la vie est très difficile au quotidien, les gens ont peur, sont malheureux, angoissés, vivent mal, perdent une énergie folle à s'inquiéter, à se protéger, à se sécuriser eux mêmes, tant bien que mal. Tout est sombre, la vie est tout simplement "pourrie".
En conséquence, on ne construit pas, bien sûr, pourquoi construire ?
L'immobilier, le secteur du bâtiment est en berne, donc tout l'emploi est en berne.
Il n'y a pas d'investissement sans espace constructible agréable à vivre, c'est à dire avant tout, sûr, serein, bien protégé.
Avec, là encore, de la clairvoyance et de la volonté, une bonne stratégie, la fermeté et l'humanité nécessaires, la participation active intéressée de tous, il est assez facile de réhabiliter, de revaloriser des centaines, des milliers de quartiers à l'abandon (une surface quasi-infinie actuellement), d'y faire renaître la vie, l'investissement, la richesse et l'emploi.
La fiscalité doit être inscrite dans la constitution.
L'instabilité fiscale est la pire des choses. Elle pénalise énormément(!), infiniment, l'investissement.
Et sans investissement, il n'y a pas de croissance, il n'y a pas de compétitivité.
L'absence de visibilité fiscale est une horreur, un véritable épouvantail pour les investisseurs.
L'investissement est un pari, une prise de risque.
Si les règles de ce jeu peuvent changer à tout moment, par un simple vote politique d'opportunité à l'assemblée, comme c'est le cas actuellement, on ne joue pas, tout simplement.
Qui jouerait ? Joueriez vous vous ? On place son argent ailleurs ! Basta !
L'impôt sur le revenu doit être positionné strictement, constitutionnellement, au même niveau que la moyenne européenne, afin qu'il n'y ait aucun intérêt à placer son argent ailleurs.
Sa valeur n'est d'ailleurs, en plus et en fait, que purement symbolique et historique. Il ne sert à rien. Il rapporte très peu, et doit même vraisemblablement coûter plus pour sa collecte qu'il ne rapporte. Son unique intérêt pratique et raison d'être maintenu est de pouvoir identifier les gains frauduleux.
Son prélèvement doit être effectué le plus possible à la source, pour en limiter justement le coût et ficher une bonne fois pour toutes la paix aux gens, comme pour les charges sociales ou la retraite.
La possession de biens, de comptes et d'avoirs à l'étranger, doit rester un droit individuel inaliénable, et ne doit plus faire l'objet d'une obligation de déclaration.
Il faut "foutre la paix aux français" ! (Georges Pompidou)
Cesser de les poursuivre, de les persécuter, de les pourchasser, de les culpabiliser, de les terroriser, de les infantiliser, de les démotiver, de les humilier, de les salir, de les castrer, de leur couper les couilles, de les pousser à s'expatrier, à partir, dépités, dégoûtés et haineux.
Il est fondamental de leur redonner tout le contraire ! Leur dignité, leur liberté, leur fierté, leur envie d'agir, d'entreprendre, d'investir, de s'enrichir et d'enrichir les autres avec eux.
La TVA doit être le principal impôt, à défaut d'être l'unique impôt, comme à Monaco (pas des idiots eux !).
La TVA sociale doit devenir prépondérante concernant les charges sociales, et permettre aux entreprises d'embaucher à coût deux fois plus faible.
On enchaîne, on paralyse, on étrangle, de façon systématique, ce qui produit de la richesse ! De la pure folie, de la pure, immense et incroyable connerie !
L'IMMIGRATION ILLEGALE (essentiel)
L'immigration illégale, source d'insécurité et de charges stériles immenses, doit être combattue avec une vraie, une véritable, fermeté, au niveau à la fois national et européen.
Après une phase de régularisation "massive" pour toutes les personnes présentes et travaillant sur le territoire depuis plusieurs années. Ainsi qu'une étude soignée mais rapide de tous les cas particuliers les plus évidents (enfants nés et ayant grandi sur le territoire, par exemple).
LES ALLOCATIONS FAMILIALES (essentiel)
Les allocations familiales doivent être limitées aux deux premiers enfants.
On fait des enfants parce qu'on gagne assez d'argent pour pouvoir les élever, et pas pour avoir avoir l'argent des allocations qu'ils rapportent (familles de huit ou dix enfants vivant dans cinquante mètres carrés, source d'une délinquance monstre quinze ans après).
Cette nouvelle disposition ne doit pas être rétro-active bien entendu, c'est à dire ne doit concerner que les enfants non encore nés, ni même décidés, c'est à dire n'entrer en vigueur que 9 mois, ou 12 mois même, après son vote ..
Le même principe (toujours non rétro-actif) s'applique évidemment également aux autres aides, et en particulier à l'aide au logement. On fait des enfants parce qu'on a de quoi les loger et pas pour se loger !
LA PROPORTIONNELLE (essentiel)
Le scrutin législatif majoritaire à deux tours est une aberration et un anachronisme.
Une stupidité et une belle sa..rie. Le creuset de toutes les magouilles et de toutes les politicarderies de couloirs, qui nuisent si profondément au pays. C'est devenu désormais LE déni de démocratie par excellence.
L'assemblée est fondamentalement le lieu d'expression et de représentation du peuple. Ce n'est pas du tout le cas actuellement. C'est tout simplement n'importe quoi.
Je propose la mise en place d'un système proportionnel (quasi) intégral, ramenant l'administré au centre de l'assemblée nationale, au lieu du parti, comme c'est le cas aujourd'hui.
Le député sera, dans l'esprit même de ce nouveau fonctionnement, foncièrement libre de passer d'un parti à un autre, comme il l'entend.
Il n'a que peu d'obligation vis à vis de lui et, réciproquement, le parti est libre de lui accorder ou pas son investiture. Il a toutes ses obligations par contre vis à vis de ses administrés.
Il vote, en son âme et conscience, en fonction de sa réflexion, de l'intérêt et avis bien compris de ses administrés et du conseil du parti auquel il est affilié, jamais selon les "instructions" de son parti.
Il ne peut pas être "parachuté". Il doit avoir résidé au moins cinq ans d'affilée dans sa circonscription.
Le scrutin est à
deux tours, en ne conservant que les trois premiers candidats au
second tour.
Le premier tour conserve sa fonction riche d'expression large.
Il n'y a pas de désistement possible au deuxième tour.
Il représente trois voix à chaque vote à l'assemblée ! c'est la très grosse nouveauté :
la sienne et celles des deux autre candidats non élus.
Chacune de ces trois voix est pondérée par les pourcentages acquis au deuxième tour .
(Une pondération "favorisante", c'est à dire accroîssant sensiblement le poids d'une voix en fonction de son degré de majorité, fera l'objet d'un réglage au cours du temps.)
Pour chaque vote il doit consulter ces deux autres candidats et voter, officiellement, selon leurs décision. Il y a donc "trois groupes de boutons oui/non" sur la table de chaque député, au lieu de un seul.
(Je rappelle également que les circonscriptions ont le même nombre d'habitants, qui est de cent mille environ. Sinon une circonscription qui en a moins aura un vote pondéré par son nombre relatif d'habitants).
Pour palier complètement
au problème d' "ingouvernabilité" lié fréquemment
à la représentation proportionnelle, il suffit d'appliquer les
règles simples suivantes :
- stabilité du gouvernement : il est choisi par le président de la république (point barre !)
- il est "renversable" (cas "extrême") par la majorité des deux tiers à l'assemblée et au sénat
- les lois sont votées par la majorité forte (60/40) des votes exprimés (c.a.d hors abstention).
Les assemblées
sont renouvelées à 50% tous les deux ans (décorrélation
complète avec la présidentielle).
Ce système est
très simple, très juste, très transparent, sans aucun risque
d'instabilité, maintient le rôle et le poids des partis à leur
juste niveau, et empêche tout système de "magouille".
Le député redevient le véritable représentant de sa circonscription.
Ce système a toutes les qualités et d'une application extrêmement simple avec les moyens de communication actuels.
LE CUMUL DES MANDATS (essentiel)
Le cumul des mandats est autorisé, dans la limite de trois.
Le député peut également maintenir son travail.
Un député doit pouvoir gagner bien ou très bien sa vie pour pouvoir faire du bon travail. S'il est capable de mener plusieurs tâches en même temps, tant mieux pour lui.
Il vaut infiniment mieux avoir des députés compétents bien payés que l'inverse.
La politique ne doit pas obligatoirement être une activité professionnelle.
C'est aux électeurs d'apprécier l'efficacité de leur élu et de renouveler ou pas en conséquence son mandat.
LA DECLARATION DE PATRIMOINE (essentiel)
L'obligation de déclaration publique de patrimoine, qui est une grosse connerie, est supprimée.
L'élu conserve son espace privé.
Une déclaration privée sous scellée simplifiée des biens principaux pourra être étudiée.
En cas de suspiscion de corruption clairement fondée, une enquête sera normalement menée et pourra alors inclure bien entendu la demande de justification de l'origine de biens.
LA TAXE PROFESSIONNELLE (essentiel)
Elle est rétablie au profit des collectivités.
Sa suppression, qui a été un vrai scandale, un véritable holdup, est abrogée.
Ce maintien est inscrit dans la constitution !
LES CHARGES SOCIALES (essentiel)
Elle sont progressivement remplacées par la TVA sociale, sur cinq ans.
Le coût du travail doit être minimisé, l'embauche et l'exportation favorisées, facilitées au maximum,
Les charges doivent s'appliquer sur les ventes !
LE DEFICIT COMMERCIAL (essentiel)
L'équilibre commerciale avec chacun de nos pays partenaires devient la règle absolue (sauf exception nécessaire choisie).
Cette règle, absolument vitale, est inscrite dans la constitution.
Les déficits absurdes et criminels, l'hémorragie, tels qu'on les a laissés s'établir, en particulier avec l'Allemagne, au cours de ces trente dernières années, avec ses conséquences totalement dévastatrices, sont donc stoppés une fois pour toutes.
Ce ré-équilibrage est réalisé au moyen d'une "tva" globale d'importation, attachée à chaque pays, et fixée annuellement.
L'endettement gigantesque de l'état, également "criminel", qu'on a laissé se constituer est également désormais strictement encadré par la constitution.
Il devra être ramené progressivement, de façon planifiée sur dix ans, à moins de dix pourcents du budget, et ne plus dépasser ce niveau, sauf exception très largement justifiée, votée au deux tiers des deux assemblées.
L'ELECTION DES JUGES (essentiel)
Les juges doivent être élus, comme aux Etats-Unis.
La véritable indispensable indépendance et dépolitisation des juges et de la justice, passe par leur élection !
La situation actuelle est inacceptable, inadmissible, infiniment malsaine, offre une grande fragilité par rapport aux influences et pressions invisibles, de couloir, politiques, partisanes, gouvernementales, etc ..
La justice appartient et n'appartient, ne peut appartenir, qu'au peuple souverain !
Le juge doit être élu !
Il ne doit répondre de ses décisions et ne rendre des comptes qu'au peuple.
Une fois ses études achevées, son diplôme obtenu, ses premières expériences, sur une dizaine d'années, en tant qu'avocat, procureur et juge assesseur, il pourra se présenter, sur cette base et muni de recommandations de pairs, devant les électeurs.
La mise en oeuvre de cette importante évolution sera progressive et ne concernera en premier lieu et dans un premiers temps au moins, que les postes libérés naturellement du fait des départs à la retraite ou des départs ou changements d'affection volontaires.
LA LIBERTE D'EXPRESSION (essentiel)
Elle a énormément régressé dans notre pays. Elle doit être pleinement rétablie.
Nul ne doit, fondamentalement, craindre, ni des poursuites judiciaires invivables, ni l'emprisonnement, ni la ruine, de la part de la justice, pour le fait d'avoir exprimé ce qu'il pense profondément sincèrement, sur la base d'éléments exposables.
Des centaines de milliers de personnes se sont battues et sont mortes au combat pour acquérir ce droit vital.
C'est le coeur même, le principal but et le principal acquis, de la révolution.
"Je hais ce que vous dites, mais je me ferais tuer pour que vous puissiez l'exprimer" (Voltaire).
Un pays où la liberté d'expression n'est pas absolument garantie ne peut tout simplement pas se développer, est condamné à sombrer dans le sous développement.
Sa progression rapide par la libre critique publique directe et ouverte de ses défauts, par la dénonciation des exactions de ceux qui en abusent et qui lui nuisent, n'est en effet pas possible.
LE MAINTIEN DES DEPARTEMENTS ET DES REGIONS (essentiel)
Le département est une entité historique fondamentale de la France moderne.
C'est un repère très fort, une dimension parfaite permettant une efficacité d'action irremplaçable, et, en plus, une véritable identité élaborée sur une très longue durée.
C'est sacré ! Sa disparition serait un vrai crime, une perte énorme.
Il faut le défendre à tout prix !
Idem pour les régions !
Le gros carnage fait à la va-vite sur un coin de table, en dépit du bon sens et au mépris total des gens, doit être tout simplement annulé. Une nullité et une insulte absolues. Du vrai Ceausescu, on est en Corée du Nord !
Seuls deux ou trois regroupements naturels évidents et réellement désirés par une majorité des habitants des régions concernées, s'exprimant par la voie des urnes, doivent être maintenus.
Ces changements profonds correspondent évidemment à la fin de cinquième république, dont il s'agit de conserver le meilleur, et de corriger les énormes tares, qui plombent notre pays et le tirent par le fond.
SUITE DE MA CANDIDATURE DE 1988 (essentiel)
J'ai entamé une démarche de présentation à la présidentielle en 1988, dans des conditions assez épiques, à un moment où mon entreprise d'alors, Genapl, cotée en bourse (hors-cote), porteuse d'un produit informatique grand public destiné aux TPE et PME, le logiciel TTG, avait de grosses difficultés financières.
Difficultés dues en particulier aux coûts très élevés des investissements, grèvés massivement par les charges sociales.
Ce produit aurait pu et aurait dû connaître un succès mondial, ,
Ma démarche s'appuyait médiatiquement sur une séquence vidéo "forte", passée sur la cinquième chaîne d'alors, dans laquelle je me brûlais consciemment un bras avec de l'alcool , au dessus d'un exemplaire de mon produit, en disant :
"En France, nous ne manquons pas d'idées, mais de courage, de volonté, de lucidité, comme ça. Ce produit doit être soutenu par vous et par les pouvoirs publics".
Mon appel fût entendu, mais bien insuffisamment. La France a perdu depuis des dizaines de milliards à l'exportation, au profit de Microsoft, Oracle, Apple, Samsung, etc ..
C'était donc, il y a 27 ans.
Ma démarche actuelle prolonge pleinement ma démarche d'alors, avec évidemment beaucoup plus d'expérience, de savoir faire, de clairvoyance, avec de nouveaux succès et de nouveaux plantages en bagage. (Deuxième gros essai, tentative, lancement, succès-plantage de 1996 à 2002).
Avec la mise au point, la finalisation, fondamentale, de la méthode révolutionnaire de l'Objet Conceptuel, qui doit connaître et connaîtra logiquement, cette fois-ci, enfin, un succès mondial.
Avec toujours la même foi immense, avec toujours la même immense détermination.